Masques, virus et Morgellons
Vers Sur masque FFP2 (meilleure qualité) – Que sont-ils ?
Il y en a environ trois ou quatre que j’ai choisis parce qu’ils semblaient être les plus actifs. Les plus gros mesurent 2 ou 3 millimètres de longueur. Ils sont reconnaissables à l’œil nu, mais ils ressemblent toujours à des filaments simples.
La procédure était comme la dernière fois:
1. J’ai soufflé dessus (car sans respirer, ils resteront immobiles); ils ont probablement besoin d’énergie thermique et / ou d’humidité pour devenir actifs.
2. En respirant, ils ont déjà commencé à bouger.
3. Puis (après avoir respiré dessus) je les ai mis sous la loupe et j’ai commencé à les enregistrer, ce que vous voyez dans la vidéo. Il n’y a pas de mouvement d’air impliqué pendant les enregistrements.
Cela signifie également: vous ne voyez leurs mouvements que lorsqu’ils perdent à nouveau de l’énergie. Je n’ai pas pu respirer correctement pendant qu’ils étaient sous la loupe à cause de la configuration.
Cette vidéo est uniquement à des fins documentaires. Je ne prétends rien savoir (en raison de mon manque d’éducation biologique professionnelle). Je veux juste que les gens le sachent, quoi qu’il en soit.
Note complémentaire: Ne sachant pas ce qui leur fait vivre (chaleur ou humidité) j’avais mis une goutte d’eau chaude sur l’un d’eux pour voir ce qui se passe … mais rien ne s’est passé. Donc, ce n’est peut-être pas tant une question d’humidité seule … la chaleur seule, je n’ai pas essayé, seulement la respiration. Mais il vaudrait peut-être mieux laisser cela aux scientifiques.
Avertissement: Je ne peux pas dire avec certitude si ces choses sont des vers / parasites ou seulement des fibres textiles.
Vers Sur le masque FFP2 ?
Je sais ce que l’on pourrait penser … c’est de la bettise ou de la manipulation. C’est exactement ce que j’ai pensé après avoir entendu ces histoires sur les vers dans les masques Corona et les tests rapides. Puis je me suis dit … pourquoi ne devrais-je pas essayer moi-même? Comme nous avons collecté pas mal de masques FFP2 au cas où ils deviendraient obligatoires en Allemagne.
J’ai donc sorti un masque de l’emballage, cherché de minuscules particules filiformes sur le masque et respiré dessus en lisant que, étant donné que ce sont des organismes et non des choses mortes, ils ont besoin d’un peu d’énergie pour se déplacer (chaleur et / ou humidité).
J’ai soufflé dessus puis je les ai mis sous la loupe pour les filmer.
Voilà le résultat.
Avertissement: Je ne peux pas dire avec certitude si ces choses sont des vers / parasites ou seulement des fibres textiles.
Le masque n’a rien à voir avec le Covid!
01 Mars 2021 – Durée 01:07 mn → RumbleVidéo source publiée le 1/2/2021 → youtu.be/…
Publié le 1 Mars 2021 par Quadrillage Traduction
LE PORT DU MASQUE GÉNÉRALISÉ
Aucune étude ne prouve une quelconque utilité du masque pour prévenir les maladies respiratoires virales, que ce soit en intérieur ou en extérieur. Le port généralisé du masque (chirurgical, tissus,…) tel que pratiqué actuellement, est un non-sens total, son usage est prévu pour une salle d’opération stérile, avec une ventilation et des paramètres permettant d’éviter toute transpiration. Les soignants le mettent dans des conditions stériles et ne le touchent plus pendant quatre heures, avant de le remplacer éventuellement. En tout état de cause, ces masques ne protègent pas des contaminations virales et infectieuses.
Dans la vraie vie, les gens le portent, transpirent, baignent dans leur haleine, le masque passe de la poche au visage et il se transforme rapidement en véritable bouillon de cultures de bactéries, levures et virus. Comme les gens le touchent en continu, ils étalent ces germes sur les doigts pour les propager par millions autour d’eux toute la journée.
Cette mesure de protection n’a pas que des avantages, pire encore, elle pourrait entraîner de graves effets secondaires, allant du simple mal de tête, une baisse des capacités cognitives à des problèmes bien plus graves, sans parler des troubles psychiques. En tout état de cause, le masque, quel qu’il soit, limite la respiration nécessaire à l’être humain, plus il est porté longtemps, plus l’oxygénation du sang est réduite. La privation d’oxygène à un certain niveau (Hypoxie), provoque des dommages neurologiques irréversibles. L’augmentation du CO2 dans le sang (hypercapnie) entraîne une variation du diamètre des vaisseaux sanguins.
Il faut bien constater que la mesure n’a nullement endigué la reprise épidémique sur le nombre de cas. L’argument facile des censeurs est de rejeter la faute sur les personnes indisciplinées, ce qui renverse évidemment la situation de responsabilité. Un traitement ne fonctionnant pas n’est pas la faute du patient, c’est que la méthode ne lui est pas adaptée. On s’aperçoit bien que le protocole thérapeutique est inappropriée à sa population cible. Certains peuvent proclamer des mesures plus contraignantes ; “il faut punir, surveiller, sévir, reconfiner, rééduquer”, la population n’a nul besoin de ces mesures destructrices et subversives. On peut en déduire que le remède devient plus dangereux que le mal lui-même ! Masquer la population aujourd’hui selon les prescriptions des autorités, est non seulement anxiogène mais aussi porteur de risques sanitaires à long terme.
Les recommandations des agences de santé pour limiter la propagation du Covid sont dénuées de tout fondement scientifique et ignorent le consensus qui ressort de la littérature scientifique pertinente : les masques sont inefficaces pour empêcher les épidémies d’infections virales respiratoires.
Dans la pratique, les spécialistes s’accordent à déclarer qu’aucune étude sérieuse n’arrive à déceler un avantage au port du masque (chirurgical, FFP2, tissus) concernant une quelconque infections virales respiratoires de type grippal. Le port du masque donne une « illusion de sécurité ». Le vecteur de transmission est essentiellement dû aux particules aérosol en suspension dans l’air. Toutes les gouttelettes de taille supérieure et qui sont extraites par la gravité (postillons) n’a aucune pertinence sur une éventuelle transmission de virus, ce système de propagation n’est pas un mode efficace de transmission virale. Quand on parle, tousse, éternue, on émet des gouttelettes qui peuvent contenir des virus, un masque chirurgical classique ne les arrête pas, mais elles sont dispersées rapidement en milieu extérieur ou aéré. Pour être infecté, il faut recevoir un grand nombre de virus, la concentration nécessaire à la contagion peut être atteinte dans des milieux clos non aérés, pas en plein air.
Le port du masque n’est et n’a jamais été une mesure sanitaire face à une épidémie, mais plutôt une mise en œuvre autoritaire. Une règle prévaut depuis plusieurs décennies dans le domaine sanitaire indiquant qu’aucun traitement ne peut être subit sans le consentement éclairé de la personne. En voici la définition :
Avant de donner son consentement aux soins, le patient doit bénéficier d’informations loyales, claires et adaptées à son degré de compréhension de la part des équipes soignantes et médicales tout en étant libre de toute pression ou contrainte. Donner son consentement éclairé implique de connaître les alternatives thérapeutiques envisageables, c’est-à-dire les autres moyens de traiter le(s) problème(s) de santé rencontré(s) avec leurs avantages et leurs inconvénients… C’est sur la base de cet échange que le patient pourra accepter ou refuser ce que préconisent les professionnels de santé, qui devront obligatoirement respecter leur volonté.
Une épidémie grippale est très contagieuses pendant l’hiver quand l’air est plus sec, ce qui permet aux aérosols contaminés d’évoluer plus facilement. En été, le risque devient insignifiant lorsque l’air devient plus humide car la condensation des particules d’eau fait chuter les aérosols et ne sont donc plus en suspension. Nous coexistons avec les virus depuis l’aube des temps et notre système immunitaire est le principal élément de défense, lorsque celui-ci atteint un niveau trop faible, les virus prennent possession des parties du corps qu’ils convoitent. L’état immunitaire de l’individu est beaucoup plus importante pour sa survie que la nature du virus.
LE DANGER POUR LES ENFANTS
Le masque est assurément de la maltraitance, il est scolairement et socialement très toxique, alors que les gamins ne sont pas malades !
Il y a un danger à porter un masque pour les personnes souffrant d’asthme ou de problèmes respiratoires chroniques, celles qui ont subi un traumatisme facial ou une chirurgie buccale maxillo-faciale récente, et ceux qui vivent dans des environnements chauds et humides.
En cas d’utilisation fréquente pendant de longues heures, le masque peut entrainer pour certains, le développement potentiel de lésions cutanées du visage, de dermatite irritante, d’aggravation de l’acné, de maux de tête potentiels et / ou difficultés respiratoires, selon le type de masque utilisé.
Les masques courants, incapables d’empêcher la transmission d’un virus d’un enfant qui ne le transmet pas même sans masque n’a donc aucune justification chez l’enfant. Or il gêne les travaux scolaires, empêche la communication non verbale si précieuse pour apprécier le suivi d’un cours et sa compréhension par les élèves, il en résulte inévitablement une difficulté à communiquer clairement. Il retire une grande partie de leur humanité à ses voisins au moment où se nouent l’essentiel des contacts, des amitiés et des amours adolescents.
Certaines personnes influençables pourraient développer de réels symptômes pathologiques sans raison objective, par les informations santé que les médias et les autorités sanitaires véhiculent, on appelle cela l’effet nocebo.
Les petits-enfants n’infectent pas leurs grands-parents, leur contact (pour les moins de 19 ans) ne les expose aucunement à la contamination par le coronavirus.
CAS PARTICULIER
Le port de masques chirurgicaux n’est indiqué que lorsque l’on est malade ou même dès que l’on ressent les premiers symptômes grippaux pour éviter de contaminer les personnes que l’on croise. Il peut donc être utile à domicile lorsqu’un membre d’une famille est infecté, il faut donc :
- s’abstenir d’approcher et de toucher les autres personnes
- Se laver régulièrement les mains avec de l’eau et du savon après chaque passage dans un lieu collectif et lors du retour au domicile, avant et après chaque repas, après être allé aux toilettes, après avoir éternué, toussé ou s’être mouché
- Aérer le logement plusieurs fois par jour si possible pour renouveler l’air
- Se couvrir la bouche et le nez en cas de toux ou d’éternuement, au mieux avec l’intérieur du coude ou un mouchoirs en papier à usage unique., sinon avec la main, et quoi qu’il en soit, se laver les mains par la suite
PROBLÈMES PARTICULIERS
Respirer sous un masque crée un environnement chaud et humide qui entraîne l’accumulation de sueur, d’huile et de bactéries. Le port prolongé met une pression constante sur la peau et l’empêche de respirer, cela peut causer des irritations par frottement au niveau du nez et des oreilles ou du contour du masque lui-même et une prolifération bactérienne due à la chaleur humide produite par la respiration. Certains effets secondaires chez les personnes à la peau sensible peuvent apparaitre : Acné, irritation sévère, allergies, boutons et eczéma, sans oublier que le stress et l’anxiété liés à la situation jouent également un rôle.