Manipulation de masse
Ouvrez les yeux…
12 Mars 2021 – Durée 11:16 mn → RumbleLe temps presse car eux, ils avancent…
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Début mai 2020, Ema Krusi disait en vidéo qu’elle refusait les tests COVID car ils pouvaient être liés à une identité numérique qui était déjà en cours. Elle a été traitée de complotiste dans la presse et les médias mainstream. Elle disait aussi que ces tests n’étaient pas fiables. Elle a été traitée de complotiste dans la presse et les médias mainstream.
Quelques mois plus tard, nous nous retrouvons dans un monde qui marche sur la tête: alors qu’il existe des traitements pour guérir du COVID, les autorités font la sourde oreille et misent tout sur le vaccin COVID à venir. Les discours anxiogènes des médias dominants sont plus que jamais des rengaines d’absurdités: le nombre de cas est relevé quotidiennement et ne reflète pas la situation dans les hôpitaux.
Les gros titres continuent d’affoler les masses, et pendant ce temps, la technologie s’installe sournoisement dans nos quotidiens avec des Applications liberticides que nous n’aurions jamais acceptées si nous avions dû voter. La démocratie est entrain de s’envoler comme une ancienne utopie au profit de la fascination technologique. Quant à la presse et aux médias mainstream, ils continuent d’être les caisses de résonance des autorités alors que leur rôle premier est de vous informer. Au lieu de cela, ils se sont rangé du côté du manche. Mais le plus grave, ce n’est même plus leur abandon du peuple mais la réalité qui se dessine sans que personne n’en parle. Alors ? C’est vraiment ça, votre héritage pour vos enfants ?
Des armes psychologiques sont employées depuis de nombreuses années pour contrôler les choix et les actions de l’opinion publique, afin de l’amener à penser et à faire ce que l’on souhaite. Ces stratégies sont utilisées dans le cadre d’intérêts d’origine politiques, économiques ou autres.
Cette liste de techniques a été décrite par Cody Goodfellow dans son livre “Silent Weapons for quiet wars”, et reprise par Noam Chomsky, penseur américain et connu en tant que linguiste, mais également comme philosophe et politologue. D’après eux, il existe 10 stratégies de manipulation qui permettent de contrôler la masse. On s’apperçoie que toutes ces manœuvres, dans les moindres détails, ont été utilisées depuis le début de l’épidémie COVID-19.
Vous vous demandez sûrement comment ça se fait que ceux qui étaient vos amis il y a peu, ces personnes avec qui vous partagiez les mêmes valeurs… puissent maintenant avoir perdu tout contrôle de leur raison.. vous leur expliquer les chiffres, leur apportez des études, des faits. Mais les yeux restent vides, rien ne se passe. Et vous vous dites: c’est pas possible ! Ils dorment ! En réalité, vous n’avez pas si tort que ça. En réalité, le monde est sous hypnose…
Avez-vous déjà entendu parler de l’ingénierie sociale ? De la fabrique du consentement ? Je vais aller droit au but aujourd’hui. J’ai une question pour vous: pensez-vous que ceux qui vous dirigent souhaitent votre bien ? Pensez-vous qu’il serait possible qu’ils vous connaissent mieux que vous ?
(Ema Krusi)
1 – La stratégie de la diversion
Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique.
“Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser ; de retour à la ferme avec les autres animaux”, extrait de Armes silencieuses pour guerres tranquilles.
2 – Créer des problèmes, puis offrir des solutions
Cette méthode est aussi appelée problème-réaction-solution. On crée d’abord un problème, une situation prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple, laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore, créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.
3 – La stratégie du dégradé
Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en dégradé, sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.
4 – La stratégie du différé
Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme douloureuse mais nécessaire, en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite, ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que tout ira mieux demain et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.
5 – S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge
La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisant, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-âge ou un handicapé mental. Exemple typique, la campagne TV française pour le passage à l’Euro, “les jours euro”.
Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans. Voir Armes silencieuses pour guerres tranquilles.
6 – Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion
Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…
7 – Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise
Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être de la plus pauvre sorte, de telle manière que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures.
8 – Encourager le public à se complaire dans la médiocrité
Encourager le public à trouver “cool” le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…
9 – Remplacer la révolte par la culpabilité
Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution !…
10 – Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes
Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes.
Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le “système” est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.