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  • Développez votre courage, soyez vous-même et ayez confiance en vous
  • Si une loi interdisait le mensonge, beaucoup de conflits seraient évités
  • Ils ne sont pas ce que l’on peux imaginer, ils sont bien pires…

Jamais un vaccin n’a autant blessé

12 MAI 2021

Le gouvernement a annoncé hier les résultats de deux nouvelles études sur les vaccins de Public Health England (PHE). L’un examine la protection offerte par les vaccins contre la mort une fois qu’une personne est infectée, l’autre la protection contre l’hospitalisation due au COVID-19 qu’offrent les vaccins.

L’étude sur les décès est la plus simple des deux. Elle examine les cas positifs à la PCR en Angleterre entre le 8 décembre et le 6 avril. Elle trouve parmi les 80 ans et plus: 16,1% (1462/9105) des cas non vaccinés sont décédés contre 9,2% (99/1 072) des cas au moins 21 jours après leur première dose de Pfizer, 11,3% (33/293) des cas à au moins 21 jours après leur première dose d’AstraZeneca et 4,7% (6/128) des cas au moins sept jours après leur deuxième dose de Pfizer. Celles-ci correspondent à des réductions du risque relatif non ajusté de 43% (Pfizer 1), 30% (AZ 1) et 71% (Pfizer 2) respectivement.

Chez les 70-79 ans, elle trouve 4,0% (1147/28 875) des cas non vaccinés décédés contre 2,7% (15/549) pour Pfizer 1, 2,1% (10/484) pour AZ 1 et 0% (0/7) pour Pfizer 2. Cela correspond à des réductions de risque relatif non ajustées de 33% (Pfizer 1), 47% (AZ 1) et 100% (Pfizer 2).

Une fois ajustés en fonction du sexe, des facteurs de risque cliniques, de l’âge et du fait d’être résident dans une maison de soins, ceux-ci deviennent des réductions du risque relatif de 44% (Pfizer 1), 55% (AZ 1) et 69% (Pfizer 2). Ce niveau de réduction du taux de mortalité chez les plus de 70 ans vaccinés une fois infectés est encourageant. Le manque de données sur les décès dans les 21 jours suivant la première dose et sept jours après la deuxième dose est décevant. Pourquoi avons-nous encore une autre étude sur l’efficacité des vaccins sans analyse de l’innocuité qui l’accompagne?

La deuxième étude examine si la vaccination protège contre l’hospitalisation. Contrairement à la première étude, elle ne regarde pas ceux qui sont déjà infectés (testés positifs) pour voir s’ils sont hospitalisés, mais ceux qui sont hospitalisés pour voir s’ils ont été vaccinés. Elle analyse 13 907 admissions dans des trusts participant à un programme de surveillance entre le 8 décembre et le 18 avril. Cela exclut ceux qui ont attrapé le virus à l’hôpital. Elle exclut également ceux dont le test PCR positif était plus de cinq jours avant l’admission (1 230 cas), dont la raison n’est pas expliquée. La répartition des admissions par sexe, âge et statut vaccinal est présentée dans le tableau ci-dessous.

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