Dictature Covid : gardez toutes les preuves
On parle beaucoup de nouveau procès de Nuremberg. Encore faut-il ne pas négliger tout ce qui peut établir la réalité des crimes perpétrés par l’oligarchie.
Les scandales n’ont cessé de s’enchaîner depuis presque deux ans : on ferme des lits d’hôpitaux; on supprime des emplois de soignants, et, maintenant, on s’apprêterait à remplacer les professionnels non-« vaccinés » par du personnel étranger venu notamment du Liban
(1); on empêche les gens de se soigner, tout en interdisant aux médecins de prescrire les médicaments efficaces et bon marché, ou tout simplement des vitamines (on a même vu, récemment, ces images insupportables d’un médecin emmené de force par la police en Polynésie); on a classé la bénéfique et peu coûteuse hydroxychloroquine dans les substances vénéneuses
(2), et l’on avait même défendu aux pharmaciens de délivrer des médications usuelles; on a monté de toutes pièces des mises en scène afin d’accréditer l’idée selon laquelle les hôpitaux auraient été submergés de morts, tout en refusant l’aide que proposaient des cliniques privées où il y avait largement la place nécessaire; on a décliné l’offre faite par des entreprises françaises de fabriquer des respirateurs artificiels; on bloque l’accès aux hôpitaux pour les individus non pourvus d’un passe « sanitaire » , et l’on recrute des vigiles pour vérifier ces passes alors qu’on se débarrasse des soignants;
on a fait en sorte que la population ne puisse plus se procurer des oxymètres prouvant que le port du masque provoque l’hypoxie; on menace les personnes honnêtes qui souhaiteraient témoigner des effets secondaires ou des décès dus aux « vaccins » ; on n’accepte même plus de répertorier ces effets secondaires ou ces décès comme la réglementation le prévoit; on fait taire les infirmières, les généralistes, les brancardiers, les scientifiques, les pompiers intègres, les citoyens lambda qui tentent d’alerter le public sur les conséquences néfastes des produits à ARN messager;
on incite à la « vaccination » avec des mixtures coûteuses, mais l’on a proscrit le vaccin de type traditionnel proposé par une entreprise française à un prix raisonnable; on piquouse à tout-va, sans même respecter les règles juridiques les plus élémentaires, comme celle qui exige que le patient soit informé des risques afin de donner éventuellement un consentement libre et éclairé; on exerce toutes les pressions possibles et imaginables; on intimide moralement et physiquement, quand on ne liquide pas carrément les gêneurs; on maltraite; on licencie, on suspend ou on radie; on ostracise, on insulte, on va jusqu’à traîner devant les tribunaux, voire jusqu’à enfermer dans un asile psychiatrique, les récalcitrants; on falsifie toutes les statistiques, toutes les courbes, tous les chiffres, tous les pourcentages;
on manipule les résultats des tests PCR, tests au demeurant bidons; on attribue au Covid-19 les morts dues à toutes sortes d’autres causes, telles que les « vaccins » , le cancer, une grippe ordinaire, une réaction à une piqûre d’abeille, ou un accident de voiture; on tient secrète aussi bien la composition exacte des injections que les contrats conclus avec les firmes qui les vendent, contrats dont seule est connue la clause exonérant Big Pharma de toute responsabilité; on a euthanasié les personnes âgées dans les EHPAD (3).
On n’en finirait pas de lister les crimes commis par la mafia au pouvoir.
Covid-19 : pandémie … ou village Potemkine ?
On dispose de tous les éléments établissant qu’il n’y a jamais eu la moindre pandémie ou la moindre crise sanitaire; que les soi-disant tests PCR ne signifient rien; que le Covid-19 est tout juste une grippe ordinaire, voire quelque chose de moins grave; que l’on raconte des bobards sur sa dangerosité ou sa contagiosité; que, s’il y a eu des morts, elles sont dues aux agissements délibérés des autorités, lesquelles, en toute connaissance de cause et sciemment, ont interdit les traitements et retardé les prises en charge médicales afin de provoquer des drames dont lesdites autorités se sont ensuite servies pour faire croire que le Covid-19 est une terriblissime épidémie; que tout se serait très bien passé si l’on avait laissé les gens prendre tout simplement de l’ivermectine ou de l’hydroxychloroquine, avec de la vitamine C, du zinc, ou encore de la quercétine; que, dans les pays où il n’y a eu ni confinement, ni masque obligatoire, ni « distanciation sociale » , ni passe « sanitaire », ni « vaccination » forcée, la vie continue parfaitement; que l’on ment quant aux effets nocifs de la muselière etc etc.
Pas de procès sans preuves
Normalement, dans un système où une institution judiciaire digne de ce nom fonctionnerait correctement, dans un pays où les résistants ne seraient pas une minorité perdue dans la masse des moutons, tous ces forfaits devraient être châtiés. Que disons-nous ? Tous ces forfaits auraient déjà été punis (4).
Il faut toutefois attirer l’attention sur un point : il ne faudrait pas que l’évidente énormité des atrocités commises par le pouvoir, amène les citoyens à négliger de se constituer les preuves des abominations dont ils sont victimes ou spectateurs.
Etant habitué à étudier la jurisprudence, nous savons à quel point les problèmes de preuve sont importants.
Voici donc quelques conseils.
S’il vous paraît qu’une infraction pénale est constituée, portez plainte. Si vous ne voulez ou ne pouvez pas le faire, envoyez immédiatement un signalement au Procureur de la République compétent, en recommandé avec accusé de réception (AR). Dans ce signalement, vous l’informerez que tels agissements ont été commis, à telle date, à telle heure, en tel lieu, par telles personnes. Précisez en quoi ces agissements relèvent du pénal. Même si le Procureur ne donne pas suite, il n’en restera pas moins que vous pourrez prouver qu’il était alerté (bien évidemment, gardez précieusement vos avis de recommandé avec AR).
D’une manière générale, n’hésitez pas à envoyer systématiquement des lettres en recommandé avec AR. Et cela, qu’il s’agisse d’adresser une mise en demeure, de demander à une personne de se positionner sur tel problème, de provoquer une décision de la part du destinataire, de faire courir un délai au-delà duquel ledit destinataire sera en tort etc etc.
Vous pouvez aussi expédier des courriels, simples ou en recommandé avec AR. Les mails se conservent, sont datés, et peuvent être copiés au besoin pour être sûr qu’ils ne soient pas effacés.
Photocopiez et scannez tous vos documents, tous vos courriers (ceux que vous envoyez et ceux que vous recevez), tous vos avis de recommandé avec AR, et stockez-les sur le disque dur de votre ordinateur ainsi que sur un disque dur externe ou une clé USB. Ce stockage est important parce que, en cas de doute sur la date d’une pièce, une expertise démontrerait aisément que cette pièce a été enregistrée informatiquement sur le disque dur à telle date et à telle heure.
Quand vous êtes spectateur d’une scène quelconque, rédigez le plus tôt possible (dans la journée) un témoignage, et demandez aux autres témoins d’en faire autant. Votre relation écrite des faits (la vôtre et celle des autres personnes) doit être précise, circonstanciée (date, heure, lieu de la scène etc). Elle doit être datée et scannée immédiatement.
Sachez que les tribunaux ont tendance à douter de la fiabilité des témoignages concoctés récemment mais qui prétendent raconter ce qui s’est passé il y a des mois ou des années.
Ne tombez surtout pas dans l’erreur consistant à antidater une attestation concernant des faits déjà anciens; vous risqueriez gros. Par exemple, si vous relatez le 20/11/2021 un fait survenu le 5/4/2019, ne datez pas votre relation d’avril 2019.
Faites établir des certificats médicaux détaillés si vous connaissez un médecin intègre.
Mais, vous pouvez également demander à des infirmières, à des pompiers, à des urgentistes etc, de témoigner, et par écrit.
A chaque fois que vous le pouvez, ayez recours à un huissier pour dresser un constat. Au besoin, regroupez-vous avec des amis, ou de la famille, ou des collègues, ou des voisins, ou des membres de votre association, pour partager les frais.
Notez qu’il existe des huissiers pour les constats de nuit.
N’oubliez pas les captures d’écran si vous trouvez quelque chose d’utile sur un ordinateur (listing, photo, document, texte etc). Enregistrez ces captures d’écran en leur donnant un titre et une date, et ayez toujours une clé usb sur vous.
Téléchargez et gardez systématiquement les vidéos intéressantes qui se trouvent sur internet, avant qu’elles ne soient supprimées (idem si vous découvrez des écrits importants en pdf).
Filmez et enregistrez les scènes ou les conversations pertinentes dans la rue, dans un magasin, dans un café, dans un hôpital ou ailleurs. N’hésitez pas à utiliser une caméra ou un micro cachés (attention toutefois à ne pas vous faire prendre si vous enregistrez en cachette sur votre lieu de travail, car cela pourrait être considéré comme une faute).
Il serait dommage qu’avec tous les éléments à charge contre le pouvoir, ce dernier s’en tire faute de preuves.
(1) Rappelons que, légalement, il est strictement interdit de remplacer des grévistes par de nouvelles recrues. De là à penser qu’en définitive, les travailleurs astreints à l’obligation « vaccinale » ont intérêt à se mettre en grève …
(2) Nous devons ce classement à madame Agnès Buzyn, alors ministre de la Santé. Inutile de le préciser : sa mise en examen par la Cour de Justice de la République (la CJR, qu’il faudrait plutôt nommer la CIR, la Cour d’Injustice de la République) n’est que du théâtre. Nous tenons le pari : elle ne sera jamais sérieusement inquiétée, sauf si le peuple, haussant le ton, prend le pouvoir, et/ou si l’oligarchie décide de sacrifier cette dame pour sauver le reste des meubles.
(3) Ce que le Conseil d’Etat a implicitement reconnu dans l’une de ses décisions, tout en trouvant cela normal. Nous y reviendrons si nous avons le temps.
(4) On pourrait citer maints exemples montrant à quel point la Justice est expéditive et sans merci contre les gens d’en bas qui n’ont strictement rien fait, mais rétive à lever le petit doigt quand il s’agit des crimes perpétrés par ceux d’en haut. Récemment encore, une personne a été placée en garde à vue, cependant que son domicile était perquisitionné, alors que cette personne n’a commis aucune infraction pénale. Preuve supplémentaire que la camorra qui contrôle tous les organes de ce pays, viole librement le droit.