Hôpital public détruit par le dangereux mythomane Véran
Nul besoin de réaliser une enquête qui va durer des semaines, il suffit d’une caméra et d’un micro pour aller filmer les services et constater à quel point l’hôpital public et dans un désastre historique. Faire semblant de ne pas comprendre que le lien direct de ce manque de personnel soignant est en grande majorité dû à l’obligation vaccinale relève de la psychiatrie. Le trio Macron/Castex/Véran est dangereux, trio de criminels qui met en danger la santé des Français alors que nous sommes au seuil d’une période épidémique hivernale et que les réseaux de santé détectent la circulation de nombreux virus.
Évitez de faire un infarctus ou un AVC du côté de l’hôpital Bichat, vos chances de survie y sont drastiquement diminuées à cause de la politique d’Olivier Véran. En effet, malgré l’envie du ministre de la Santé d’enquêter sur les 20 % de lits fermés dans les hôpitaux — « Le chiffre de vingt pour cent, j’aurais tendance, comme ça, à le contester » —, l’heure est à la désolation dans le milieu de la santé. La catastrophe est en cours. Aux mauvais coucheurs qui s’étonnent de cette bérézina, Oliver Vairon réplique avec une certaine légèreté : « Je n’ai pas de médecin caché dans le placard ». A la bonne heure monsieur le « ministre » de la Santé ! Après avoir traité les soignants comme des moins que rien, fermé des lits et viré le personnel non vacciné, le résultat est au-delà du déplorable. Non seulement les soignants fuient les hôpitaux, les étudiantes désertent les écoles d’infirmières, une bonne partie des soignants entame une reconversion, mais, pour améliorer la situation, Véran annonce une troisième dose obligatoire. On voudrait liquider l’hôpital public qu’on s’y prendrait pas autrement… Si le ministre chargé de la Santé souhaite enquêter, nous lui conseillons de se rendre à l’hôpital Bichat et de taper la bavette avec le Pr Pierre Amarenco, chef du service neurologie, qui soigne depuis vingt ans des infarctus et des AVC, mais qui doit se débrouiller avec quatre infirmières sur vingt-quatre et seulement quatre lits ouverts sur vingt-huit. On est évidemment au-delà des vingt pour cent, donc pas besoin d’envoyer les agents spéciaux de NCIS ou Columbo pour mener l’enquête. « Tout est prêt à fonctionner, mais on n’a pas les infirmières. » La situation à Bichat est donc la suivante, selon le Pr Pierre Amarenco : « Tout est prêt à fonctionner, mais on n’a pas les infirmières. » « Sur le nord de Paris, les deux grands services neurovasculaires qui reçoivent des AVC ont des difficultés majeures, et les Samu et pompiers doivent envoyer des patients ailleurs […] la plupart du temps on est obligés de leur dire non. »